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Les besoins hydrauliques de l'agriculture marocaine, ne sont plus suffisamment assurés par les barrages et l'exploitation de la nappe phréatique qui connait un déficit remarquable au fur et à mesure des années. L'agriculture et l'eau sont donc irrémédiablement vouées à des destins liés.
Face à cette situation, les pouvoirs publics ont décidé à faire sortir la gestion de l'eau de l'irrigation du giron du tout public en développant des partenariats public-privé. Ainsi, après la brève expérimentation de la gestion participative de l'irrigation, les politiques publiques ont préféré se tourner vers le partenariat avec des acteurs privés pour assurer la gestion de ces périmètres.
Avec la récente entrée en vigueur de la loi n° 86-12 relative aux contrats de partenariat public-privé , susceptibles de bien encadrer juridiquement les projets d'irrigation de l'agriculture marocaine. Les grands défis restent ceux de la transparence et de la bonne gouvernance.
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