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Lire les Appropriations territoriales du problème de « surexploitation » des eaux souterraines à travers la mise en œuvre des « contrats de nappe » au Maroc
Kévin Del Vecchio  1, 2, 3@  
1 : Triangle : action, discours, pensée politique et économique  (TRIANGLE)  -  Site web
Institut d'Études Politiques [IEP] - Lyon
15, parvis René-Descartes - BP 7000 69342 LYON CEDEX 07 -  France
2 : Gestion de l'Eau, Acteurs et Usages  (UMR G-EAU)  -  Site web
Irstea
361 rue J.F. Breton - BP 5095 34196 Montpellier Cedex 5 -  France
3 : Sciences Po Lyon - Institut d'études politiques de Lyon  (IEP Lyon)  -  Site web
Fondation Nationale des Sciences Politiques [FNSP], PRES Université de Lyon, Institut d'Études Politiques [IEP] - Lyon
14 avenue Berthelot - 69365 Lyon cedex 07 -  France

La loi sur l'eau de 1995 et l'instauration des agences de bassin au Maroc conduisent à l'apparition de nouveaux outils d'action publique. Dans le cas particulier de la gestion des eaux souterraines, les agences plaident pour la mise en œuvre de « contrats de nappe » rassemblant les différents acteurs de la gestion d'un même aquifère considéré comme « surexploité ». Nous émettons l'hypothèse que les échanges et négociations menées à cet effet, au niveau territorial, sont l'occasion d'une redéfinition du problème public de « surexploitation ». L'ébauche d'une comparaison entre les différents territoires vise à déterminer certaines variables influençant l'appropriation du dispositif contractuel par les acteurs territoriaux. D'autre part, il conviendra de penser une certaine forme de « mise en politique » du problème à travers l'apparition de controverses et de rivalités sectorielles liées à la fois au processus de construction du problème mais également à la définition de solutions envisageables.


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